samedi 29 août 2020

Déjà 13 000 lecteurs pour Le Testament de l'alchimiste

Bonjour à tous !

Voilà 5 mois que le Testament de l’alchimiste est disponible en versions numérique, audio et papier, et alors que nous venons de recevoir nos derniers relevés de ventes, nous avons le plaisir de vous annoncer que 13 000 lecteurs ont partagé les aventures de Nadia Barka.

Des aventures qui semblent être appréciées des lecteurs qui lui ont attribué une note globale de 4,6 sur 5 sur Amazon.

Un grand merci à tous nos lecteurs !!!

Comme vous le savez peut-être déjà, j’aime beaucoup les chiffres. Alors, analysons ensemble ces résultats.

Pour ce qui est des formats, c’est sans surprise que le numérique arrive loin en tête, avec 69 % des lecteurs : un prix réduit de 4,99 € (ou moins au moment du lancement ou pendant la promotion du mois de juillet), une majorité de lecteurs qui nous connaît via les plateformes numériques, à commencer par Amazon, puis, de plus en plus par Kobo. Sans parler du confinement ! Pour un livre paru début avril, en plein COVID, un téléchargement sur sa liseuse était facile et sans risque de contagion.

En numérique toujours, les emprunts « abonnement kindle », sont loin d’être négligeables : 21 % de lecteurs à ce jour. Le chiffre est sans doute un peu biaisé, car le titre n’a été disponible à l’emprunt que trois semaines après sa sortie. 

La version audio s’en sort bien, avec 7 % d'auditeurs. Sans doute un double effet : l’effet confinement bien sûr, mais également la conséquence du fait que le titre « Le Sceau des sorcières » avait été écouté par de nombreux auditeurs, qui ont sans doute voulu connaître la suite des aventures de Nadia... même si "le Testament de l'alchimiste" peut se découvrir sans avoir lu les précédentes aventures de Nadia Barka.

Le papier à la traîne, avec 3 % de lecteurs. Rien de vraiment surprenant puisqu’il n’est pas disponible dans les rayons des librairies, notre éditeur n’ayant pas souhaité le publier.
Pour les amateurs, sachez que ce titre peut être commandé en ligne ainsi que dans toutes les librairies. Il est également disponible sur Amazon.
Cela dit, en période de confinement, publié chez un éditeur ou pas, ce livre aurait eu du mal à trouver son public dans sa version papier.

Et comment se répartissent les ventes en numérique ? Une question qui intéressera sans doute de nombreux auteurs indépendants.

Sans surprise, là encore, c’est sur Amazon que se trouve la grande majorité de nos lecteurs soit 80 %. Un résultat un peu biaisé quand on sait que nous avons longtemps été en exclusivité sur ce site et que de nombreux lecteurs nous y ont découverts.

Kobo n’est cependant pas en reste, car si les ventes de Kobo représentent 18 % des ventes globales, ce pourcentage évolue dans le temps : 16 % en avril, 24 % en mai (avec une mise en avant du titre sur Kobo), 27 % en juin, 9 % en juillet (offre du mois sur Amazon), 22 % en août. Ce pourcentage va sans doute encore augmenter au fur et à mesure de la baisse des ventes sur Amazon.
Pour d’autres titres, on observe en effet qu’en l’absence de promotions sur l’une ou l’autre plateforme, le pourcentage de ventes sur Kobo est de l’ordre de 40 %. Une plateforme à ne pas négliger donc !

Apple suit de loin avec près de 2 % des ventes. Quant à Google et aux autres plateformes (Decitre, Cultura,...) les pourcentages sont de 0,3 % et 0,4 %. 

Enfin, un dernier mot sur la plateforme Librinova.

Nous sommes en effet passés par cette plateforme pour publier la version numérique de ce titre. "Pourquoi ?" demandez vous ! "Les Vandroux, vous n’êtes pas suffisamment aguerris pour vous débrouiller tous seuls ?"

Pour vous répondre, c’est très simple : pour deux raisons : une bonne et une mauvaise. 

La mauvaise d’abord : un petit coup de flemme !
C’est quand même plus facile d’avoir un seul interlocuteur pour publier votre livre sur toutes les plateformes, puis pour vous envoyer deux fois par an le fruit de vos ventes. On fournit un fichier Word, et c’est Librinova qui s’occupe du reste.
Moins de mise en forme et une comptabilité ultra simplifiée : cela m’allait très bien.

La bonne ensuite : nous n’avons pas d’éditeur pour ce livre, mais nous ne perdons pas espoir d’en trouver un. Et c’est là qu'intervient Librinova, dont les collaborateurs connaissent le monde éditorial bien mieux que nous. Alors, dénicheront-ils un éditeur ? Pas certain ! Mais au moins, avec eux, nous mettons les chances de notre côté.

Tous ces services ont bien sûr un coût, et si vous êtes intéressé, je vous laisse prendre connaissance de leur site. Sachez également que vous aurez comme interlocuteurs des personnes enthousiastes et motivées qui répondent rapidement à vos questions !


Voilà, voilà, je crois avoir fait le tour de la question.

On se retrouvera plus tard, car pour le moment, Jacques et moi avons du pain sur la planche ! Le manuscrit d’un roman à quatre mains à finaliser, et le plan du suivant à terminer !

Non, non, non ! Je ne vous dirai rien tout de suite, il faudra être patient.

De toute façon, personne n’aura lu ce post jusqu’au bout !

À bientôt

Jacqueline Vandroux

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