Certains auront peut-être une impression de déjà vu !! Mais pas tous.
Jacques-Line
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Ça y est, mon nouveau roman, « Projet Anastasis » est sorti !
J'ai à cœur d'en parler, et quelle meilleure audience que celles et ceux qui nous suivent sur le blog tenu par Jacques-Line !
Quelques mots sur ce livre à travers les premiers chapitres de l'histoire !
Après Paris, la Bretagne et le Dauphiné, de nouveaux personnages, Béatrice Weber et Jean Legarec, vont mener leur enquête en Alsace, à Munich et sur l'île de Malte. Paris sera aussi au centre de l’action, puisque le livre commence par un attentat dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Par ailleurs, je n’ai pas pu m’empêcher de faire un petit tour sur les côtes bretonnes, histoire de profiter quelques instants de l’air iodé.
Vous croiserez aussi une « pas si vieille » connaissance dans cette histoire.
Premier chapitre : un attentat à Notre-Dame de Paris
Certains se demanderont peut-être après le premier chapitre, pourquoi j’ai mis une telle panique à Notre-Dame de Paris. Parce que je n’aime pas cette cathédrale ? Pas du tout, je l’adore ainsi que l’île de la Cité et la rive gauche. C’est une église qui a vraiment une âme, et qui est presque aussi belle que la cathédrale de Strasbourg : Jacques-Line étant originaire de cette belle ville, je suis prudent sur les termes que j’utilise. Elle (la cathédrale, pas J-Line) apparaîtra d’ailleurs plus tard dans le livre.
Je n’ai rien non plus contre les touristes qui la visitent et les fidèles qui y prient. Non, ce chapitre met en place deux personnages qui prendront de l’importance par la suite (Alpha et Alexandre). Mais pourquoi cet attentat alors ? Si je vous le disais déjà, vous m’en voudriez terriblement !
Rassurez-vous, le sang ne va pas dégouliner à chaque chapitre. Il y aura bien sûr des amitiés fortes et quelques bons dîners dans des restaurants assez originaux. Plusieurs lecteurs m’ont demandé pourquoi mes personnages passaient leur temps à manger : nous sommes en France, il faut en profiter ! Et pour prouver que je ne suis pas chauvin, vous pourrez aussi dîner à Munich et déjeuner à La Valette !
Deuxième chapitre : présentation du héros
Présentons l’un des « héros » de l’histoire, Jean Legarec. À la tête d’une petite société de renseignements, Jean va mener l’enquête et vous entraîner avec lui dans ses pérégrinations.
Le second chapitre du roman le place en situation, un peu à la manière des premières minutes des films de « James Bond ». Une scène qui n’a rien à voir avec ce qui se passera par la suite, mais qui permet de dévoiler un petit pan du personnage.
Le chapitre 4 vous permettra de découvrir non seulement le domicile parisien de l’enquêteur (avec vue sur la Tour Eiffel, tout de même), mais aussi une collaboratrice à l’énergie débordante : Margot. Je l’aime bien, Margot. Une grande gueule au grand cœur, qui tient la baraque quand ses patrons sont à l’autre bout du monde !
Mes Personnages !
En fait, je m’attache à la plupart de mes personnages. Mettre en scène des « salauds » est aussi très intéressant, car on ne nait pas bon ou méchant. La vie vous forge, le caractère et la volonté font le reste. C’est aussi l’une des raisons de la longueur de mes livres (J-Line craque parfois en les relisant et m’a demandé de réduire la longueur de celui qui suivra peut-être un jour) ; j’ai besoin de créer un parcours aux personnages principaux, de leur donner de l’épaisseur.
Jacques-Line : éditeur et censeur !
Je voulais aussi mettre en valeur une personne sans qui les livres ne seraient pas aujourd’hui sur les différentes plateformes. Mon épouse, nom de code J-Line.
Écrire un livre et l’offrir aux lecteurs dans un format agréable à lire (traquer les coquilles et les fautes d’orthographe ou de grammaire, éviter les répétitions, alléger le style du premier jet, mettre en forme le roman, j’en passe et des meilleurs…) représente un très gros travail. Il y a le mot « édition », dans auto-édition.
C’est donc une aventure commune que nous avons lancée. J’écris les histoires, et depuis « Au Cœur du Solstice », je fournis le texte à J-Line chapitre après chapitre. Elle me donne ses commentaires (sans prendre de gants) et je dois avouer que j’en intègre, parfois après avoir ardemment discuté (l’auteur a son amour-propre) près de neuf sur dix.
Sur « Projet Anastasis », J-Line a même joué un rôle de police des mœurs. Elle a retiré Jean du lit d’une espionne australienne, sous prétexte que le public féminin n’apprécierait pas du tout cette incartade. Exit la belle Australienne !
Voilà, je voulais aussi mettre en avant tout le travail qu’elle réalise (ceux qui suivent le blog s’en rendent compte) et qui permet aux livres d’être de qualité (après, on aime ou pas l’histoire) mais aussi tout simplement d’exister (elle fait aussi le travail de marketing, de mise en place chez Amazon, Kobo et consorts, le suivi administratif…).
Bref, une belle aventure de couple… Mais ceux qui nous suivent savent déjà tout cela !
Chapitre 5 : Une nouvelle venue rejoint le projet : Béatrice Weber
Béatrice va chercher à embaucher Jean Legarec pour retrouver Alexandre, disparu suite à l’attentat de Notre-Dame de Paris. La tâche n’est pas simple, mais elle aura un argument massue pour le convaincre (non, non, elle ne couche pas avec). A découvrir…
Béatrice est alsacienne, et va nous emmener dans sa région dans laquelle se déroulera une partie de l’action.
Pourquoi l'Alsace ?
Après la Bretagne dans « Les Pierres Couchées » et le Dauphiné dans « Au Cœur du Solstice », c’est cette région qui est à l’honneur dans « Projet Anastasis ». L’Alsace est d’abord un très beau pays (et je ne dis pas uniquement ça sous la menace de ma belle-famille et de ma femme assise à côté de moi sur le canapé), offrant des villes splendides (Strasbourg et Colmar en sont les exemples), de magnifiques villages (Andlau les représentera) et les Vosges, montagnes à la fois pleines de vie et de mystère. La liste n’est évidemment pas exhaustive.
L’Alsace est aussi un pays à l’histoire complexe, au moins pour les Français de l’intérieur (ndla : un Français de l’intérieur est un Français non alsacien – cela vient de l’époque comprise entre 1871 et 1918, où l’Alsace-Moselle était appelée par le gouvernement français la « France de l’extérieur », même si elle était sous domination allemande. La « France de l’intérieur » est donc le pendant de cette expression et est encore très vivace).
Il m’a fallu de nombreuses discussions et lectures pour commencer à comprendre le drame que vécurent les Malgré-nous, emmenés de force dans les armées allemandes. J’ai donc voulu mettre en scène cette période, en plongeant dans la Seconde Guerre mondiale et le camp de concentration du Struthof-Natzweiler, planté par les nazis au cœur des Vosges. Mais vous prendrez connaissance de tout cela plus tard. N’oublions tout de même pas qu’il ne s’agit que d’une fiction, même si le contexte historique est réel.
J’espère, en tout cas que, si vous ne connaissez pas cette région, vous aurez envie de la découvrir.
Et voilà, j’espère que ces quelques lignes vous auront donné envie de vous lancer dans l’histoire et que cette dernière vous plaira !
Jacques Vandroux
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